vendredi 30 mai 2014

jeudi 29 mai 2014

99*

Alors, comment vous dire...

Un grand bonheur est entré dans ma vie.


Je ne vais pas remonté à la genèse de cette envie, puisque que franchement, je ne sais pas trop quoi en dire. L'année dernière, mon homme a trouvé une chouette 102 sur le Bon Coin. C'était marrant de le voir prendre du plaisir sur sa mobylette, mais j'avoue que moi, humpf, je suivais ça un peu de loin. J'ai fait de petits tours dessus, un peu mal à l'aise d'abord, un peu grisée ensuite, et puis c'est tout. Mon jules a revendu la sienne à l'automne, et je n'ai plus repensé aux mobylettes jusqu'au printemps. Alors, avec mon homme, on a évoqué l'idée de m'en prendre une, idée que je l'ai finalement rejetée, craignant que ce ne soit qu'un désir de plus à assouvir.

Et mardi dernier, mon homme est rentré du travail avec cette glorieuse dame de 1962. Si vous saviez comme elle est belle... Je l'ai essayé hier, j'ai besoin de prendre de l'assurance et l'homme trouve que je "guidonne" un peu, mais, grande fierté, j'arrive à la démarrer "à la poussette". J'ai commandé mon casque, on doit l'immatriculer et l'assurer. On a prévu de lui faire subir une petite visite technique, et moi je me donne le mois de juin pour la nettoyer.


J'ai prévu quelques travaux "esthétiques" (changement des garnitures de poignées, des optiques, peut-être des pédales et remplacement d'un autocollant), mais je n'irai pas plus loin dans la restauration.

J'ai hâte, hâte, hâte d'avoir mon casque, pour aller chercher mon pain et cruiser sur le front de mer.

Xoxo.

mercredi 21 mai 2014

98*

Oui, un smoothie. J'ai eu envie à ça, aussi 0_o


Parfois, j'vous jure, je voudrais vraiment que ça s'arrête.

Juste une semaine, sans avoir envie de rien. Et puis, le temps passant, me rendre compte que j'ai oublié le code de sécurité au dos de ma carte bleue. Ce serait plutôt bon signe, ça, non?

Depuis une semaine, j'ai eu envie : d'un réflex argentique, d'une sangle pour ledit boîtier, de vernis Kure Bazaar, d'une Mobylette(?!), du Glow Maximizer de Dior, d'un maillot une-pièce noir, et d'une paire de Saltwater. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme j'ai honte.

Pourtant, mon esprit devrait être occupé par mon travail (je suis en pleine mutation professionnelle, quand même), par ma famille (le mois de mai est un mois d'anniversaires), par mes kilos qui n'en finissent pas de faire gonfler mon ventre, voir même par mes ongles que j'ai tellement envie de voir pousser.

Mais non, il suffit d'une visite sur un blog pour que tout de suite ma machine interne à désirs se mettent en branle. Non, en fait, pour l'enlumineur Dior c'est le version Fémina de dimanche dernier, et pour la Mobylette, c'est la côte avant d'arriver au village voisin qui est juste un peu trop raide pour l'aborder à vélo. Ce serait injuste de n'accuser qu'Internet comme déclencheur d'envies. Mais là, ouf, j'ai juste envie de me poser et de profiter de ce que j'ai.

Ici, il y a quelques semaines, je me lançais le défi d'une abstinence : celle du clic chez les autres. Un Carême de la blogosphère. Bon, je ne suis jamais revenue sur cet article. Ce qui résonne, vous vous en doutez, comme un aveu d'échec. Je n'ai JAMAIS cessé de rendre visite aux autres. Et je n'en ai pas envie ! Je pense que c'est un tort de rendre responsable les autres blogs de mes pulsions d'achats, et à chaque fois je repense à toutes ces chouettes découvertes ou expériences que j'ai faites suite à une inspiration 2.0. Je continuerai donc mon petit tour, le soir, juste avant de me mettre devant la télé. Et si je reste sur ma faim, je mettrai à jour mon Tumblr (j'adore mon Tumblr, on pourrait croire que c'est un truc tout vide, mais non, le simple agencement de ces images représentent pour moi la quintessence de ce qui me plait).

Enfin, j'ai également remarqué que je suis moins dans "Avoir" lorsque je m'investis davantage dans "Être". Si je m'investis dans mon travail et ma vie de famille, si je me laisse à nouveau happée par la photo ou que j'aligne juste quelques rangs sur ce snood devant une série, mon esprit est moins tendu vers l'envie. Je me satisfais de ce que je suis, je suis satisfaite de ce que je réalise et ce que je fais est source de plaisir.

Aller, je retourne au boulot.

Xoxo.

mardi 20 mai 2014

97*



Parce qu'il n'y a pas que "Avoir" qui compte dans la vie, il y a aussi "Être".
Lire, aller au cinéma, écouter de la musique...

lundi 19 mai 2014

96*

Planifier et restreindre mes emplettes est une obligation pour moi, car j'aime vraiment, vraiment le shopping. Mais, au bout du compte, j'aime encore plus avoir une approche rationalisée de mon armoire. Le plaisir s'est déplacé : il n'est plus dans l'achat compulsif qui au bout du compte se révèle très culpabilisateur, il est dans l'achat qui se révèle vraiment satisfaisant, tant il a été attendu, réfléchi, et fantasmé.

Pourtant, il m'arrive encore de succomber à l'achat impulsif (comprendre non-programmé, pas complètement hors sujet), et celui-ci peut se révéler totalement inattendu de perfection.

C'est pourquoi je n'ai pas totalement renoncé au maraudage. Les pièces que je porte le plus ne sont pas celles que j'ai planifiées. C'est une blouse et un gilet acheté aux super-soldes de Somewhere, c'est un manteau rouge repéré sur un portant devant le Comptoir Irlandais, c'est une petite robe noire en coton dénichée au rayon grossesse de Kiabi.

Je n'engage jamais des sommes folles dans ces achats de maraudage. "L'occasion fait le larron", et pour ne pas être dans l'erreur d'achat, je réfléchis bien plus que pour un achat planifié. Je prends le temps d'essayer, de passer en revue les combinaisons possibles avec les vêtements déjà possédés. Je soupèse le prix (souvent dérisoire, c'est souvent des achats que je paye en espèces), et je le porte très vite.



Et c'est lors d'une maraude chez Bonobo que je suis tombée sur cette jolie petite veste. Bon, une maraude inspirée d'un SMS qui m'a braillé "40% pour la Fête des mères, etc..." Alors, que faire, mon quota de printemps est atteint mais de petites sorties se profilent... "ROo, parfaite pour les 40 ans des copains..."

Sans rigoler, je n'ai quasiment pas hésité. Et j'ai été ravie de la porter hier, et de l'effet qu'elle a produit (sur moi, j'entends, sur les autres, j'm'en fous;-)).

Xo.

mercredi 14 mai 2014

95*

Il y a longtemps, mon truc à moi, c'était la photo.



Ça remonte à loin, c'était l'époque où j'étais une jeune aux cheveux longs, que je me disais que "ouais, merde quoi", au fond de moi ce que je voulais c'était devenir photo-reporter et que j'achetais tous les ans 100 photos pour la liberté de la presse.

Avec mes premiers salaires de vacataire, je me suis offert un FE2. Je sortais jamais sans. Je crois que c'est la chose pour laquelle j'avais dépensé le plus de sous.

Et puis voilà. Quelques pellicules plus tard, un F301 trouvé par mon Jules dans une dépôt-vente et un FE2 revendu pour cause de grosse dèche, la déferlante numérique est arrivée. Très vite, j'ai eu envie d'un Reflex. Je crois, sans snobisme, que lorsqu'on a dans l'oreille le bruit du miroir on ne peut plus s'en passer. Mon Canon est un EOS 400D, avec un sympathique 18-55mm. Au mois de février, je me suis offert un 50mm, parce que j'ai envie de beaux portraits. C'est surtout ça qui me plaît, les portraits. C'est ça que j'ai envie de voir en photo, les gens que j'aime; moi aussi, d'ailleurs, j'aime me voir. Je veux observer comment je vieillis.

Le week-end dernier, j'ai eu envie d'argentique. Ça me prend de temps en temps. J'ai déposé chez le photographe de ma ville une vieille pellicule couleur sans avoir idée de ce qu'il pourrait y avoir dessus, puis de retour à la maison j'ai voulu en glisser une autre dans le F301, dont j'adore le "shlack-shlack". Mais là, même avec des piles toutes neuves, la diode de ce bon vieux Nikon est restée tristement éteinte. Consciencieusement, je lui ai imposé un bon nettoyage, quelques manipulations, en vain. Je crois que ce super 50mm qui le coiffe va rester orphelin.

D'emblée, j'ai surfé, lui cherchant immédiatement un remplacement. La nature -mais surtout moi- a horreur du vide. J'ai passé les trois dernières soirées sur le Net à me mettre plein les yeux de FE2, FM2 et de F301.

Pour finalement lever le pied.

J'ai glissé une pellicule dans le vieux Minolta de mon beau-père. Un dinosaure celui-là, un vrai défi. Aucune pile, entièrement manuel, pas de cellule intégrée. Il est un peu lourd, son bruit n'est pas vraiment joli, mais il est là. Je sais qu'il fait de jolies photos, nous en avons encore à la maison. Alors cet été, c'est lui que je vais sortir. Je me lance le défi de photos de vacances avec ce vieux compagnon, avant de rechercher son digne successeur si la magie de l'argentique fonctionne encore. Cela me laisse en plus le temps de me constituer une petite cagnotte, et de lire, relire les avis.

Extrait de cette fameuse pellicule,
qui date de juillet 2003.

Xoxo.

jeudi 8 mai 2014

94*

Aujourd'hui, je colle à l'air du temps : vous mettez quoi quand il pleut?

Moi, c'est un truc qui m'a bien pourri la vie pendant longtemps. Parce que perso, je trouve que c'est un enfer de rester digne quand il pleut. J'ai horreur de la pluie et de la sensation d'être mouillée, il n'y a que du fond de mon lit que je trouve ça sympa, mais bien vite je me dis que ça doit être l'horreur pour les gens de la rue.

Mais voilà, j'habite en Bretagne, qui depuis deux années consécutives ne connaît que deux saisons : la saison des petites pluies, et la saison des grandes pluies. Alors, il a fallut que je m'adapte, vestimentairement parlant. Et honnêtement, je pense que je touche du doigt le bonheur. Parce qu'à présent, quand le Télégramme annonce à sa page météo/horoscope (ma préférée;-)) "moins arrosé qu'hier", cela ne me fait ni chaud ni froid, parce que JE PEUX FAIRE FACE.


AHah, ça cause, hein? Je peux affronter un jour de pluie N'IMPORTE QUEL JOUR de l'année sans ressembler à une pub pour Scapêche, héhé! Alors de haut en bas et de gauche à droite, on trouve : une parka légère Comptoir des Cotonniers qui date de 2005 (vu le peu de fois où je la porte, elle a failli quitter ma garde-robe à plusieurs reprises, mais à chaque fois il s'est mis à pleuvoir, alors non); ma parka Barbour (une folie et un rêve d'ado), je ne la porte que pour les pluies d'hiver, je peux largement glisser dessous une grosse veste en maille ou un gilet de fourrure; une parka légère de demie-saison (Cache-Cache), qui a pour elle de ne pas être trop longue et d'avoir plein de poches; et une parka/coupe-vent (Cache-Cache, again) pour les pluies d'été (sa doublure pique un peu les yeux, mais elle est géniale, elle me met de bonne humeur à chaque fois que je la porte, je n'y attache que des souvenirs de vacances, c'est sans doute pour ça). Les deux dernières pièces m'ont coûté moins d'une vingtaine d'euros pièces, et elles sont largement rentabilisées.

Terrorisée à l'idée d'avoir les cheveux mouillés, j'ai de plus en permanence dans mon sac un couvre-chef :


Mon bérêt me protège du froid et de la pluie aussi longtemps que nécessaire (en plus, j'aime bien avoir la tête couverte, j'en profite sûrement un peu), sinon j'ai mon chapeau de pluie dégoté au Monop' il y a quatre ans.

Côté chaussures, j'ai LARGEMENT règlé la question.

Je n'aime toujours pas la pluie, mais à présent, je ne me terre plus à la maison comme un lapin les jours de pluie.

Xo.

mercredi 7 mai 2014

93*

Et bien, j'en connais une qui à du mal à tenir ses comptes...

Je viens de me rendre compte que mon "quota" de dépenses saisonnières est atteint depuis quelques jours, déjà...

et que je l'ai même dépassé. Sans m'en rendre compte. Aargh...

Cette saison-ci, il y a donc eu :
♥ un cabas Zara,
♥ un petit pull loose laine et cachemire,
♥ un jean gris,
♥ un blush à tomber,
♥ et une paire de boots so girly.

Les achats se sont enchaînés assez rapidement et assez spontanément, ce qui explique -peut-être!- que j'ai pu oublier les avoir fait.

Et au final, je me suis accordée deux dépenses supplémentaires :



Du coup, ça m'interroge. J'ai choisi de m'imposer un quota pour limiter mes dépenses, mais aussi pour m'obliger à retrouver le plaisir du choix, de l'achat différé et de la satisfaction une fois celui-ci effectué. En ayant oublié l'achat du blush et du cabas, cela me montre bien que la dépense est devenue vraiment commune pour moi. Fail.

Bon. Il me faudra être plus vigilante à la prochaine saison (qui se promet d'être délirante, vu que la capsule d'été est chez moi celle qui comporte le plus de pièces, alors que le "plein été" -vue de l'esprit, entre nous, hum- ne dure chez nous que deux mois et demie).

Sans rancune, Xo.

lundi 5 mai 2014

92*

Je suis bien dans mes fringues (bon, parfois juste un peu... serrée, mais c'est de ma faute), bien dans mes chaussures et bien dans mon maquillage. C'est fou, ça me libère l'esprit. J'y pense toujours, c'est ma façon de jouer, mais... c'est source de plaisir.


Je réinvente chaque jour un make-up différent avec ma trousse minimaliste.

Je tente de nouvelle associations vestimentaires, ou alors je me complais dans l'uniforme jean-marinière-Converse.

Je vois avec plaisir les étagères de mon meuble de salle de bain se vider. Les produits sont terminés sans  que je les remplace. Parce qu'ils ne me plaisent pas, parce qu'ils ne servent à rien ou qu'ils ne remplissent pas leurs promesses.

J'ai fait ma valise ces deux derniers week-ends car nous rendions visite à nos familles. J'ai été rapide et efficace. Je n'ai eu qu'à regretter de m'être habillée pour une soirée comme si nous étions un doux soir de juin, alors qu'en fait il s'agissait plutôt d'une très fraîche nuit d'octobre... Mais bon.

Alors, pour parfaire cette honeymoon que je traverse avec mon dressing, j'ai décidé de m'offrir une bougie parfumée comme accessoire de saison.


Je ne collectionne pas les bougies parfumées, mais j'aimerais. J'adore ça, j'en mets sur ma liste de Noëlanniversaire tous les ans, et je traverse l'année sans en acheter. Mais cette année, pas de bougie parfumée, et ça commençait à me manquer. Je ne les allume qu'à une seule occasion, lorsque je prends un bain. Ça me procure un plaisir indescriptible, que je savoure par anticipation.

Je suis tombée sur cette marque, Papillon Rouge, totalement par hasard, dans le magasin bio de ma ville (il y a vraiment trop de merveilles, dans cette boutique, pfuit...). Outre ses normes clean affichées, ses parfums sont divins. J'ai craqué pour le parfum Cologne Napoléon.

J'en soupire encore de plaisir...

Xoxo.

vendredi 2 mai 2014

91*

Si vous êtes, comme moi, absolument et futilement passionnée par la constitution d'une garde-robe parfaite, vous êtes sans doute à l'affût des différentes publications sur les Essentiels et autres Basiques fondamentaux qui doivent constituer le squelette de votre dressing. Aujourd'hui, arrêtons sur le cas du trench.


Aah, le trench, l'IN-DIS-PEN-SABLE de toute garde-robe. Et bien oui mais non. Ça fait quasiment vingt ans que je lis ça, mais moi, je n'y arrive pas. Je pense que c'est une pièce qui est bien trop subtile pour être catégorisée basique. Je m'explique.

Sur les trois exemples ci-dessus, une seule silhouette remporte mes suffrages. Le trench, c'est une affaire compliquée. Il y a sa matière, il y a sa longueur, il y a sa coupe aux épaules, et il y a sa couleur. Et je ne doute pas que les trois demoiselles ci-dessus ont investi dans du trench de qualité. Et pourtant, je n'aime que la proposition de Michelle Williams : trench ajusté aux épaules et aux manches, une bonne quinzaine de centimètres au-dessus du genou, un trench mi-long donc.

Ma mère en possède un, le classique du Comptoir des Cotonniers. Je l'ai porté, enceinte, sur une robe et une paire de bottes cavalières, et j'avais adoré. Mais en fait, je me suis rendue compte que je ne porterais cette pièce qu'avec des robes et une paire de bottes cavalières. Que ce serait le vêtement outwear parfait pour une tenue de mariage. En bref, que je ne serais jamais assez habillée pour en faire une pièce maîtresse de ma garde-robe. J'ai donc laissé tombé...


... pour ce modèle-ci. Car c'est vrai que le trench est la pièce parfaite de demie-saison. Et la mode est si bien faite que l'on trouve toujours la pièce qui vous sied le mieux;-) Pour moi, c'est -encore!- Comptoir des Cotonniers qui a produit mon petit miracle :


Il m'arrive à mi-cuisse, il a une jolie martingale qui le cintre juste comme il faut, et un bleu absolument lumineux. Je l'ai trouvé sur Ebay (il y a deux ans, pas moyen de dire de quelle collection il s'agit), payé le tiers de son prix, et je suis chaque année impatiente de le ressortir. Son tissu est épais mais souple, du coup il me tombe parfaitement. Je le porte avec une robe et des ballerines, comme mes jeans et mes Converse.

Tout cela pour dire que les pièces indispensables sont celles qui nous vont, dans lesquelles on se sent bien, et que l'on a envie d'user jusqu'à la trame. Qu'il faut attendre, voir, toucher, essayer et porter, pour enfin juger à l'aulne de ce que l'on possède déjà.

Xoxo.

jeudi 1 mai 2014

90*

Vous savez à quel moment mes dérives de consommatrice compulsive me sont le plus intolérables? C'est lorsque je fais le ménage. Souvent, c'est là que mes abus me sautent aux yeux, et que l'accumulation me devient insupportable.


Vous y croyez, vous, quand je vous dis que c'est le nécessaire à maquillage d'une nana qui, il y a cinq ans, ne possédait qu'un mascara et la Touche Éclat, et ne continue qu'à utiliser QUOTIDIENNEMENT qu'une poignée de produits (toujours les mêmes, d'ailleurs)?

J'ai fais du tri, aujourd'hui. J'ai balancé pas mal de produits fluides ou crèmes, et j'ai jeté ce que je n'utilisais pas du tout. Si les cosmétos n'étaient pas périssables, je pense que j'aurais de quoi me maquiller jusqu'à ma mort (que j'espère fort, fort lointaine). Pfuit...

C'est dingue, j'en ai tellement qu'il faudrait que je pense à donner, mais... contrairement aux vêtements, ça m'embête un peu. J'ai un rapport un peu fétichiste, un peu collectionneuse, avec le make-up. Je n'arrête pas de me dire que "Oui, mais ça, je pourrais en avoir besoin...", "Aah mais nan, j'aime trop ce blush..."

En attendant cette révolution, j'ai cherché à identifier mes essentiels. Peuh, trop facile, c'est mes favoris quotidiens :


Il manque juste ma poudre libre, que j'ai préféré poser sur mon étagère. On y trouve donc du fond de teint minéral (je laisse définitivement tomber les fluides/crèmes), une poudre pressée, un bronzer de demie-saison, un blush, une palette quatro, une ombre à paupière mono, un baume à lèvres, un crayon noir, un brun, un rouge à lèvres bien rouge, un nude, un lipstick teinté, un mascara noir.Je suis certaine de tenir des mois avec ça. Tiens, pourquoi pas jusqu'à ma prochaine capsule?

Et comme je n'ai ni le besoin, ni le coeur de m'acheter un produit cosméto cette saison-ci, j'ai craqué pour une petite po-chouette :


J'ai pu y glisser tous les essentiels, et elle est un vrai plaisir pour les yeux : cuir véritable, fabrication française et éco-responsable. Lovely!

Xoxo.