lundi 19 août 2013

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Après être passée par la phase carré  assez court, un peu plongeant, j'ai décidé de laisser repousser mes cheveux. Ma dernière visite chez F., mon talentueux coiffeur, s'est soldée par un petit peu d'entretien, et je dois avouer que depuis, mes cheveux sont assez conciliants.

Il a néanmoins fallu adapter les soins de coiffage.
En effet, après n'avoir juré que par les inclassables Curlesque de TIGI Catwalk et le Woolshake de Redken, force fut de constater que ceux-ci ne me servaient plus à grand chose au moment du séchage. La dernière fois que j'ai utiliser ce combo, j'ai eu envie de ma passer la tête à la tondeuse.
Pas question non plus de retomber dans les soins bourrés de silicones après une année de green attitude. Je me suis donc tournée vers la papesse du cheveux, aka Leonor Greyl.

Je sèche encore mes cheveux au sèche-cheveux. Le Lait Luminescent me paraissait donc assez adapté à mon cheveu, et à ma manière de le mettre en place. Après le shampoing (juste un shampoing, toujours le shampoing pour cheveux normaux de Centifolia), je laisse un peu sécher naturellement, puis je pschitte cinq pressions dans la main. Je procède au démêlage, d'abord avec les doigts, puis au peigne en bois, j'ajoute encore deux ou trois pressions, puis je sèche mes cheveux, pleine puissance, chaleur mini. Attention à ne pas avoir la main trop lourde, et surtout SURTOUT à ne pas vaporiser directement sur les cheveux: vous risquer de vous retrouver avec les cheveux tous plats, avec un aspect pas clean.

A ce moment, je ne suis pas encore coiffée. Je donne une à deux pressions de Sérum de Soie Sublimateur dans la main, que je chauffe, avant de l'appliquer par petites touches, sur les longueurs. L'odeur est très particulière, limite désagréable. Ça sent un peu le jasmin, mais genre fin de vie dans le composteur. Mais l'odeur s'atténue très rapidement, et j'ai choisis de faire confiance au produit. Encore un petit coup de sèche-cheveux, et c'est fini.

Je préfère faire mon shampoing le soir, et dormir sur les soins. C'est bizarre, mais c'est comme ça. Le lendemain, je n'ai plus qu'à me passer la main dans les cheveux, et me voilà parée.

Depuis hier, j'ai envie d'une frange. Mais je me suis promis de ne plus retourner chez le coiffeur avant les vacances de Noël. Que le dieu du cheveux m'entende.

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