mercredi 22 janvier 2014

51*

En matière de fringues, j'ai des marottes.

Je vous ai déjà confié mon addiction aux doublures en tartan. Je suis dingue des martingales au dos des manteaux et redingotes. Je craque sur les biais contrastants en velours ou Liberty, ou sur les petits boutons dépareillés ou cousus avec des fils qui ressortent. Lorsque je choisis mes vêtements, je suis à l'affut de ces petits détails, j'inspecte la pièce sous toutes ses coutures. Parfois, en VPC, ils sont mentionnés, parfois non. Et c'est la bonne surprise. Je me souviens notamment d'un petit caban commandé sur La Redoute pour une vingt-sizaine d'euros. Non seulement le caban est très joli, mais j'ai poussé un petit cri de ravissement en le déboutonnant pour découvrir la doublure en popeline de coton rose à petites fleurs. Boden est une marque spécialiste de ce genre de détails, et Somewhere nous en réserve de temps en temps.

Ça, c'est que je recherche. Mais il y a aussi des trucs complètement rédhibitoires. Comme les pantalons avec deux mètres de tissu pour les jambes (j'ai envie de pleurer de bonheur lorsque je tombe sur du 78 cm ou du 32). Ou les fausses poches.

Mort aux fausses poches.



J'aime les poches, même si je ne mets JAMAIS rien dedans. Bon, sauf mes mains de temps en temps. Je les aime bien profondes sur les jeans, raglans sur les pantalons, passepoilées ou à revers sur les fesses, mais jamais, jamais factices. Je vérifie toujours en boutique, mais en VPC c'est très rare que ce soit mentionné.

Pour illustrer mon propos, deux pièces perso avec des poches bien comme il faut. A gauche, mon cargo Esprit, porté l'été et sorti pour l'occasion (et oui, je suis une fille qui fait de l'investigation). A droite, ma jupe en velours Somewhere. Dans les deux cas, vraies poches côtés et vraies poches dos. Rien à dire, j'adore.

A+!

Xo.

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